Si l'image de la sensualité est incarnée par Vénus et ses courbes généreuses ou Apollon aux muscles saillants, qu'en est-il du "touché" ?
La première zone érogène chez l'homme est le cerveau, puisque c'est le premier à recevoir des messages et à les transformer en influx nerveux, lesquels sont retransmis à nos organes génitaux sous formes de sensation. Mais si nous pratiquons - surtout chez les hommes chez qui la vue est plus développée - l'érotisation du nu (des vêtements, du maquillage...), connaissons-nous notre corps, et surtout son corps, jusqu'au bout des doigts ? Avant de répondre, un cours de décodage de notre atlas érogène ne fait de mal à personne !
Des zones effeuillées aux zones effleurées
Les zones primaires sont les même pour toutes et tous... ce sont celles, directement rattachées au cerveau, qui permettent (obligatoirement) de parvenir à l'orgasme : les organes génitaux (clitoris et/ou le point G chez la femme, le gland chez l'homme).
Les autre zones, dîtes secondaires, sont cependant d'importance primordiale si on considère leur richesse de sensibilité et leur capacité à stimuler la réceptivité des zones primaires !
Ces zones se divisant en trois spécificités :- Les zones extra-génitales : en gros l'ensemble du corps, sans les organes génitaux.
- Les zones para-génitales : toutes les zones qui se concentrent autour des organes génitaux (bas du ventre, aine, périnée).
- Les zones génitales : l'ensemble des organes génitaux sans les zones primaires.
De haut en bas... la bouche dont le pouvoir érotique est identique chez la femme, continue de remporter les suffrages, avec un point à faire sur l'utilisation du bout de la langue très stimulant, sans oublier le goût, le toucher...
Le cou est très réceptif au baiser effleuré avec les nerfs sensitifs en pleine action. Chez la femme également !
Les oreilles et ses lobes appétissants...
L'intérieur des cuisses, au commencement de la zone génitale, est sensible et donc réceptive.
Les mollets se caressent du bout de votre talon, certains apprécient beaucoup.
Notre cuir chevelu est sensible aux caresses qui détendent et nous aident à être plus réceptives.
Les bras qui se frôlent et se caressent sont également très réceptifs.
Les seins sont un terrain de sensations très riches, dont le réseau nerveux est directement lié au cerveau.
Le ventre et plus particulièrement le bas du ventre...
Le creux des reins est très sensible, comme les cuisses dont la face interne correspond à un signal sexuel !
Des préliminaires qui conduisent à l'orgasme par l'excitation des zones primaires, dont il faut rappeler que chez l'homme, il s'agit uniquement du "gland", par rapport à la femme qui en a deux avec le "clitoris" et le "canal vaginal". Qui a dit que les femmes avaient quelque chose en moins que les hommes ?[/b]